- L’argent que nous amassons en vendant des billets de tirage, ou tout autre moyen, achète de l’équipement médical qui améliore et sauve la vie de nombreux enfants. C’est un événement malheureux qu’un enfant laisse derrière ses parents. Une chose extrêmement pénible, ce qui est difficile pour tout parent à accepter. Si en soutenant Curling pour les enfants, je peux empêcher cet événement horrible à se produire, j’ai le sentiment d’avoir fait une différence.
- L’organisation Curling pour les enfants explique très clairement comment les dons seront utilisés pour acheter de l’équipement médical spécialisé et indispensable pour le traitement des enfants malades.
- J’appuie Curling pour les enfants parce qu’un autre membre du CCRM m’a demandé de l’aider - et je suis devenu accro ! Au fil des ans, j’ai joué au sein d’équipes dans le tournoi de Curling pour les enfants (j’ai même un trophée !) et, finalement, devenue de plus en plus impliquée dans la coordination de l’événement à notre club. Je n’ai pas d’enfants et je n’ai jamais visité aucun des deux hôpitaux. Mais je travaille en tant que bénévole auprès de deux médecins récemment retraités de l’Hôpital de Montréal pour enfants. Leur passion, leur dévouement et leur enthousiasme sont contagieux — vous savez que de grandes choses se passent grâce aux efforts exceptionnels de Curling pour les enfants en matière de collecte de fonds. Je suis honoré d’en faire partie.
- Quand j’étais toute jeune (et un peu dans mon adolescence), j’étais extrêmement enclin aux accidents et me retrouvais souvent à la salle d’urgence de l’hôpital de Montréal pour enfants pour une sorte de blessure (le technicien dans la salle de plâtres et moi étions familiers). Cela dit, à un moment donné, j’ai développé un trouble nerveux exceptionnel (syndrome de dystrophie du réflexe sympathique [SRDS]), qui est assez rare chez les adultes et encore moins inexistant chez les enfants. Après quelques visites de retour à l’urgence pour essayer de comprendre ce qui n’allait pas, un des médecins a reconnu mes symptômes et a pu me mettre en contact avec toute une équipe pour diagnostiquer et traiter le trouble. Cinq blocs chirurgicaux, des médecins de Malaisie qui ont assisté mes chirurgies, en plus d’être dans un film et un journal médical, je ne serais pas où je suis aujourd’hui (guérie et fonctionnelle) sans l’Hôpital de Montréal pour enfants, ainsi que des organisations telles que Curling pour les enfants, qui fait des dons pour faire avancer la recherche médicale et le traitement des enfants malades.
- J’appuie Curling pour les enfants, car il s’agit d’une organisation gérée à 100 % par ses bénévoles. Les fonds recueillis servent à l’achat d’équipement, permettant aux donateurs de savoir exactement où chaque centime est alloué. Je crois dans une organisation comme celui-ci parce qu’il est composé de bonnes personnes qui font de bonnes choses pour les enfants malades ! Sans oublier, c’est un événement amusant aussi !
- Dans les jours précédant les cellulaires, lorsque mon fils Kevin avait 27 mois, il a eu une infection à l’œil qui ne répondait pas aux antibiotiques par voie orale. Il avait besoin d’antibiotiques par voie intraveineuse. Nous l’avons amené à l’Hôpital de Montréal pour enfants où il a été placé en isolement avec une intraveineuse. Ses sœurs jumelles étaient 7 semaines à l’époque, et nourris au sein, donc je n’ai pas pu rester avec les bébés et lui à l’hôpital. Chaque matin, pendant les 4 jours que Kevin a dû rester à l’hôpital, il se réveilla en pleurant. Après avoir tout fait pour essayer de lui consoler, quelqu’un m’appelait pour qu’il puisse me parler et qu’il soit assuré qu’il allait me voir plus tard. J’ai ensuite eu le temps d’amener les jumeaux chez mes parents et de me rendre à l’hôpital à temps pour dîner avec lui. Il s’endormirait dans mes bras sachant que Papa serait là plus tard pour souper avec lui et lui coucher. Je suis, à ce jour, reconnaissante pour les gens bienveillants qui ont essayé de leur mieux pour consoler mon enfant effrayé. Après coup, son œil va bien. Nous n’avons jamais découvert la cause de l’infection et elle ne s’est jamais reproduite.
- Je me suis impliqué avec Curling pour les enfants en 2004. On m’a demandé de participer au tournoi au club de curling Glenmore. Ce fut une si belle expérience que l’année suivante, je suis devenu organisateur à St-Lambert. Le 27 août 2016, ma raison de devenir bénévole a changé. Bébé Jacob est né : premier petit-fils de ma plus jeune sœur. Le bébé Jakob est né avec une hypoplasie pontocérébelleuse, une maladie neurodégénérative rare causée par des mutations génétiques. À l’heure actuelle, il n’y a pas de remèdes connus. C’est alors que j’ai réalisé qu’en aidant à amasser des fonds pour les hôpitaux pour enfants à Montréal, nous pouvons aider les enfants qui en ont le plus besoin. Alors maintenant, chaque année, je dédie mon année à Bébé Jakob, appelant mes efforts de collecte de fonds : JAKOB’S JOURNEY.
- J’ai dû amener mes deux filles à Sainte-Justine et à l’Hôpital de Montréal pour enfants à diverses occasions. Les médecins et le personnel prennent soin des enfants et les traitent avec compassion et compréhension. Ils comprennent aussi les parents et prennent le temps d’expliquer ce qui se passe et pourquoi. J’appuie Curling pour les enfants parce qu’il soutient ces deux hôpitaux en achetant de l’équipement médical indispensable pour les enfants malades ET parce que c’est une organisation basée à 100 % sur le volontariat.